La Loue d’Ornans à Cléron
Ornans capitale de la pêche à la mouche, rendue célèbre par Gustave Courbet et ses tableaux, l’est également par la qualité de ses eaux et la beauté de son architecture. Suivez la route et laissez-vous gagner par la magie des lieux qui ont inspiré l’artiste.
A Cléron, le château du XVème siècle se mire dans les eaux de la Loue. Le meilleur angle de vue se situe depuis le Pont du Tacot qui autrefois reliait Cléron à Besançon.
La célèbre mouche d’Ornans, la pureté des eaux, la qualité et la combativité des poissons, ombres et truites zébrées, les possibilités d’hébergement et de restauration, font que tous les ingrédients sont réunis pour passer un séjour pêche inoubliable.
D’Ornans à Cléron, les parcours sont tous plus beaux les uns que les autres.
La nymphe est autorisée depuis 2002 sur les huit kilomètres de l’AAPPMA  qui traversent la ville et se terminent à Notre-Dame du Chêne (vérifiez la réglementation actuelle).
Sur ce parcours, la Loue change sans cesse de rythme, alternant courants et calmes pour le plus grand plaisir des pratiquants.
Plus en aval, le parcours no kill de Cléron vous attend rive gauche en amont du château.

Excellent parcours et réservant de belles prises potentielles. Il convient de prévoir une épuisette avec un long manche pour éviter de descendre le talus qui est assez haut.

Le château de Cléron est un château fort du IV siècle à Cléron à 25 km au sud de Besançon).
Les jardins privés sont ouverts au tourisme pendant la période estivale. Il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 6 juillet 1982.
Cette maison forte fut bâtie en 1320 par Humbert de Cléron, vassal du Comte de Bourgogne, pour protéger le passage à gué sur la Loue sur la principale route du Sel de Franche-Comté.
Remanié et agrandi aux XVe et XVIIIe siècles, le Château conserve encore aujourd’hui ses défenses médiévales.
Visite du jardin, (payante et non guidée) : du 1er juillet au 31 août, de 14h30 à 18h, sauf le lundi.
À voir à Cléron: l’ancienne chapelle castrale du XIVe agrandie au XVIIIe pour devenir l’église Saint-Siméon; l’ancien presbytère du XVIIe siècle avec son toit en pierre de lave.